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L a milice est chargée du maintien de l’ordre dans la Cité franche et sert d’armée au Duc en cas de nécessité. Dans le cadre de ces deux aff ectations, elle coopère avec les autres forces armées légitimes de la ville, comme celles des Pairs, et compose avec celles, tolérées, des guildes. Ses officiers et ses dirigeants se plient de bonne grâce à cet exercice, notamment parce qu’ils sont conscients des limites de la milice : les tractations politiques et les frontières géographiques limitent ses pouvoirs, et elle a parfois besoin de négocier pour parvenir à ses fins. La variété des troupes issues des guildes procure à Cadwallon une armée polyvalente. Chaque guilde possède ses spécificités, ses alliances et ses peuples de prédilection. La milice fait le lien entre cet extraordinaire foisonnement de cultures et d’espèces. Quiconque est capable d’un peu de brutalité peut rejoindre la milice ; quiconque est capable d’un peu de ruse peut entrer au service d’une guilde. Ceux qui possèdent suffisamment d’or peuvent quant à eux s’off rir les services des uns comme des autres. == Histoire == Cadwallon est un lieu chargé d’histoire et de mythes. Les légendes racontent que d’autres peuples, disparus depuis, ont vécu ici de nombreuses ères auparavant. En 832, un groupe de mercenaires apatrides s’installa en ce lieu oublié. Ce sont les fondateurs de Cadwallon, telle qu’elle est de nos jours. Baptisés « Chiens de guerre », ils obéissaient aveuglément à leur chef, Vanius. Ils défrichèrent les vestiges de l’ancienne cité cynwälle, espérant déterrer d’anciens artefacts abandonnés par les elfes. Les deux cents Chiens de guerre étaient organisés en vingt et une compagnies franches, chacune menée par l’un des lieutenants de Vanius. Les secrets enfouis de Cadwallon attiraient cependant d’autres regards. Les forces des Méandres des Ténèbres tentèrent de balayer les nouveaux arrivants, mais les Chiens de guerre tinrent bon. L’apparition soudaine, avant la bataille, d’un tarot de vingt-deux cartes dotées de pouvoirs magiques ne fut sans doute pas étrangère à cette victoire miraculeuse. Le tour de force de Vanius donna naissance à la cité franche de Cadwallon. Les offi ciers qui restèrent auprès de leur chef fondèrent les premières familles nobles de la ville et surent tirer du sous-sol des richesses insoupçonnées. Au fil des années, en grandissant et en mûrissant, Cadwallon accueillit une foule d’artisans qui se constituèrent en guildes, assurant la prospérité de la ville. Cadwallon est protégée du Rag’narok par son opulence et son statut jalousement gardé de cité franche. Grâce à cela, le Joyau de Lanever ne livre que les batailles qui l’intéressent. http://img4.hostingpics.net/pics/893276Cadwallon.png == Rag'narok == Tout natif de Cadwallon est considéré comme cadwë, c’està- dire aff ranchi des nations, de leurs luttes et de leurs lois ; certains vont même jusqu’à dire de leurs religions comme de leurs traditions. Seuls les deux tiers des habitants sont de « vrais » Cadwës, des natifs. Les autres résidents, bien établis ou simplement de passage, sont issus des cultures qui s’aff rontent pour la suprématie de leurs croyances dans cette guerre totale qu’est le Rag’narok. Pour Cadwallon, le Rag’narok est avant tout une occasion de s’enrichir : tant que l’indépendance sera maintenue, les combats seront l’opportunité d’amasser des fortunes colossales. Cité prospère, indépendante et diplomatiquement neutre, Cadwallon attire de nombreux voyageurs, réfugiés fuyant les troubles qui accompagnent le Rag’Narok ou émissaires venus négocier en terrain neutre… Les guildes les plus infl uentes de la cité en profi tent pour se mêler de politique et de diplomatie. Rompant totalement avec la tradition franche de Cadwallon, elles ont noué des réseaux d’alliances avec certaines nations et entretiennent des armées privées qui interviennent dans le Rag’narok. Dès lors, de nombreux ressortissants viennent à Cadwallon pour aff ermir ces relations ou, au contraire, pour y mettre fi n. == Armée de l'Immobilis == L’armée de l’Immobilis ‒ oiseau légendaire de Cadwallon ‒ s’articule autour des guildes. Chacune d’entre elles possède son armée privée, spécialisée dans certains domaines, de l’assassinat aux machines de sièges. Le gros des troupes est généralement fourni par la milice de la ville, qui détache (contre rémunération !) des miliciens correctement entraînés et solidement équipés. Le commandement est laissé à des combattants issus d’une guilde : assassins, architectes, usuriers… Bien souvent, des troupes étranges renforcent encore l’effi cacité de ces bandes de mercenaires. Elles sont souvent dotées de pouvoirs inattendus, dont le secret est jalousement gardé par la guilde qui les emploie. Viennent ensuite les alliés. Il est rare que l’armée de l’Immobilis se mette en marche sans avoir fait appel à des combattants de l’une ou l’autre des nations impliquées dans le Rag’narok. Même les nécromanciens du Bélier trouvent leur place dans cette armée, alors que l’inimitié entre la cité de Cadwallon et les Limbes d’Achéron est de notoriété publique. Cet assemblage de troupes en apparence hétéroclites n’est pourtant pas le chaos auquel on pourrait s’attendre. Cité raffi née, Cadwallon abrite des généraux brillants venus de tous les horizons. La diversité crée la surprise et l’ennemi sait rarement comment aff ronter une armée de l’Immobilis. Les gâchettes de Khaurik sont l’une de ces troupes réputées et craintes que Cadwallon est la seule à employer. Ces ogres ne s’en remettent pas uniquement à la puissance physique qui fait de leur espèce l’une des plus redoutées d’Aarklash. Certes, leurs hallebardes, leurs épées démesurées et leurs énormes marteaux fauchent, tranchent et écrasent sans pitié. Mais les gâchettes de Khaurik emploient également d’énormes armes à feu, capables de venir rapidement à bout des adversaires les plus résistants. Les mages cartomanciens emploient la magie des tarots, qui a sauvé la ville à sa création. Entre leurs mains, les cartes à jouer deviennent les supports de sorts mortels, qui attirent une malchance ridicule ou au contraire une bonne fortune insensée, qui transforment les guerriers les plus fi ers en enfants maladroits et les brutes de taverne en foudres de guerre.
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La Cité de Cadwallon
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